EXTERIEUR
Son design en 3 portes est une réussite totale. Se dégage de son dessin un sentiment de robustesse et de puissance.
A la fois dynamique et élégante, cette version coupé est parfaitement équilibrée.
Avec son empâtement plus court de 35 mm, la Leon SC n’est pas qu’une version berline amputée de 2 portes mais bien une version coupé unique lui procurant encore plus de personnalité. La lunette arrière plus inclinée de 19 % ainsi que le rabaissement de 13 mm viennent renforcer l'identité.
Rajoutez à cela des feux à led avant et arrière de forme rectangulaire ainsi que des grosses jantes 18 pouces « Performance » et vous obtiendrez un cocktail des plus séduisant.
A la fois dynamique et élégante, cette version coupé est parfaitement équilibrée.
Avec son empâtement plus court de 35 mm, la Leon SC n’est pas qu’une version berline amputée de 2 portes mais bien une version coupé unique lui procurant encore plus de personnalité. La lunette arrière plus inclinée de 19 % ainsi que le rabaissement de 13 mm viennent renforcer l'identité.
Rajoutez à cela des feux à led avant et arrière de forme rectangulaire ainsi que des grosses jantes 18 pouces « Performance » et vous obtiendrez un cocktail des plus séduisant.
INTERIEUR
La première impression est très bonne. L’ambiance respire la sportivité et le sérieux. La qualité perçue a fait un bond en avant par rapport aux anciennes versions.
Dans sa finition « FR », elle dispose d’un volant sport badgé ainsi que de jolis sièges cuir/alcantara du plus bel effet (qui hélas manquent de maintien).
Mais en y regardant de plus près, on constate que la qualité des plastiques reste en dessous de ses cousines allemandes et quelques éléments font tout de même cheap à l’image de la manette de réglages du siège.
La planche de bord, très orientée vers le conducteur, est quand à elle un peu simpliste à mon goût. Soulignons tout de même un niveau de finition qui est plus que correct dans l’ensemble.
Côté option, c’est la totale. Climatisation automatique, ordinateur de bord avec écran tactile et détection d’approche, system Easy Connect, Lane Assist, feux à led avant et arrière… Bref, la totale. On peut l’affirmer, cette Seat est suréquipée et je dois avouer que je n’ai pas eu le temps de tout tester, j’étais trop occupé à me faire plaisir au volant à vrai dire…
Côté son, les audiophiles seront ravis avec le system « Seat sound » qui compte pas moins de 9 hauts parleurs et un caisson de basse très performant qui se situe dans le coffre. Objectivement, la qualité est au rendez vous même si les plus pointilleux lui reprocheront des imperfections notamment au niveau des aigus.
Dans sa finition « FR », elle dispose d’un volant sport badgé ainsi que de jolis sièges cuir/alcantara du plus bel effet (qui hélas manquent de maintien).
Mais en y regardant de plus près, on constate que la qualité des plastiques reste en dessous de ses cousines allemandes et quelques éléments font tout de même cheap à l’image de la manette de réglages du siège.
La planche de bord, très orientée vers le conducteur, est quand à elle un peu simpliste à mon goût. Soulignons tout de même un niveau de finition qui est plus que correct dans l’ensemble.
Côté option, c’est la totale. Climatisation automatique, ordinateur de bord avec écran tactile et détection d’approche, system Easy Connect, Lane Assist, feux à led avant et arrière… Bref, la totale. On peut l’affirmer, cette Seat est suréquipée et je dois avouer que je n’ai pas eu le temps de tout tester, j’étais trop occupé à me faire plaisir au volant à vrai dire…
Côté son, les audiophiles seront ravis avec le system « Seat sound » qui compte pas moins de 9 hauts parleurs et un caisson de basse très performant qui se situe dans le coffre. Objectivement, la qualité est au rendez vous même si les plus pointilleux lui reprocheront des imperfections notamment au niveau des aigus.

SUR LA ROUTE
C’est tout en douceur que je commence à dompter la belle. Mode éco activé, j’apprécie la douceur de la DSG à allure modérée. Les rapports s’enchainent très tôt, aux environs des 2000 tours, mais le rythme ne tarde pas à s’accélérer et je décide donc de passer au mode « Sport ». La direction se durcit, les rapports tombent et les premiers crissements de pneus se font entendre.
Je m’arrête un instant, ajuste ma position de conduite, que je trouve hélas un peu haute, passe l’ESP en mode sport, la DSG en mode manuel et commence l’attaque.
Première, seconde, troisième, les rapports s’emboitent à la volée grâce notamment aux palettes au volant et je me retrouve en quelques secondes à des vitesses inavouables tellement ce moteur turbo essence TSI 180 est pêchu et performant ! Le ton est donné et j’espère que le châssis sera à la hauteur sinon je risque de me retrouver hors jeu précocement.
Les premières courbes ne tardent pas à montrer leur nez et le plaisir aussi… Le châssis, déjà testé sur la A3 et la Golf 7 est du même acabit et personnellement, je trouve que celui ci est l’un des meilleurs actuels.
Le train avant de la Seat est très précis et directif, il me répond au doigt et à l’œil. Il fait preuve d’une grande rigueur et me rappelle celui d’un certain modèle de la marque au losange.
Le XDS+ permet d’éliminer les remontées de couple au volant et tente de limiter tant bien que mal les pertes d'adhérence du train avant à l'accélération. La motricité est bonne sans être extraordinaire pour une traction de près de 200 chevaux.
L’arrière train de l’auto se veut vivant au moindre lâché de pédale de droite lors d’un appui mais ne tentez surtout pas de la brusquer car elle ne rentrera pas dans votre jeu.
La performance est clairement au rendez vous, les sensations aussi. Vous irez très vite avec cette auto et, ce, avec assez de facilité et peu de frayeur, l’ESP n’étant pas déconnectable totalement, il veillera au grain.
Autre point fort du moteur, sa sobriété. La consommation était à peine supérieure à 10 litres au cent, prouesse technique vu le rythme. En mode éco, les 6 litres annoncés ne semblent donc pas impossibles.
Soulignons tout de même quelques points moins réjouissants. Tout d’abord la DSG, en mode sport, qui voudra toujours rétrograder d’une vitesse par rapport à la dernière vitesse sélectionnée par le conducteur. C’est à dire que sur grande route, la DSG décidera de passer la 6 ème au lieu de rester en 7 ème. Ensuite viennent des bruits assez importants toujours au niveau de la dsg et en agglomération. Enfin, les jantes de 18 pouces aussi belles soient-elles, se montreront inconfortables à la moindre irrégularité de la route.
Je m’arrête un instant, ajuste ma position de conduite, que je trouve hélas un peu haute, passe l’ESP en mode sport, la DSG en mode manuel et commence l’attaque.
Première, seconde, troisième, les rapports s’emboitent à la volée grâce notamment aux palettes au volant et je me retrouve en quelques secondes à des vitesses inavouables tellement ce moteur turbo essence TSI 180 est pêchu et performant ! Le ton est donné et j’espère que le châssis sera à la hauteur sinon je risque de me retrouver hors jeu précocement.
Les premières courbes ne tardent pas à montrer leur nez et le plaisir aussi… Le châssis, déjà testé sur la A3 et la Golf 7 est du même acabit et personnellement, je trouve que celui ci est l’un des meilleurs actuels.
Le train avant de la Seat est très précis et directif, il me répond au doigt et à l’œil. Il fait preuve d’une grande rigueur et me rappelle celui d’un certain modèle de la marque au losange.
Le XDS+ permet d’éliminer les remontées de couple au volant et tente de limiter tant bien que mal les pertes d'adhérence du train avant à l'accélération. La motricité est bonne sans être extraordinaire pour une traction de près de 200 chevaux.
L’arrière train de l’auto se veut vivant au moindre lâché de pédale de droite lors d’un appui mais ne tentez surtout pas de la brusquer car elle ne rentrera pas dans votre jeu.
La performance est clairement au rendez vous, les sensations aussi. Vous irez très vite avec cette auto et, ce, avec assez de facilité et peu de frayeur, l’ESP n’étant pas déconnectable totalement, il veillera au grain.
Autre point fort du moteur, sa sobriété. La consommation était à peine supérieure à 10 litres au cent, prouesse technique vu le rythme. En mode éco, les 6 litres annoncés ne semblent donc pas impossibles.
Soulignons tout de même quelques points moins réjouissants. Tout d’abord la DSG, en mode sport, qui voudra toujours rétrograder d’une vitesse par rapport à la dernière vitesse sélectionnée par le conducteur. C’est à dire que sur grande route, la DSG décidera de passer la 6 ème au lieu de rester en 7 ème. Ensuite viennent des bruits assez importants toujours au niveau de la dsg et en agglomération. Enfin, les jantes de 18 pouces aussi belles soient-elles, se montreront inconfortables à la moindre irrégularité de la route.
CONCLUSION
Elle n’est pas la plus sportive (les plus extrémistes attendrons la version Cupra), elle n’est pas exempte de tout reproche (ceux la prendront une allemande) et pourtant je n’ai qu’une envie, reprendre les clés et me laisser porter par le bitume. Cette Leon SC a tout pour plaire et saura vous procurer du plaisir à son volant. Dynamique tant dans la conduite que dans le style, elle offre en plus un rapport qualité prix très compétitif. Indéniablement une « auto emocion ».